Toujours dans mon duvet, j’écoute ce qui se passe à l’extérieur : le réchaud doit repasser au gaz car l’essence vient à manquer (je voulais voir jusqu’où on pouvait « vider » la bouteille, maintenant je le sais mais on n’a plus d’essence du coup… c’est le jeu !). Le passage de l’un à l’autre se fait théoriquement sans encombre, juste une petite pièce à intervertir. Théoriquement. Car évidemment, cela se complique, comme prévu : les flammes qui jaillissent du réchaud à peine allumé proviennent de l’essence qui restait dans les tuyaux. C’est impressionnant et sans autre effet néfaste que de boucher le trou, plus petit pour le gaz que pour l’essence, de la pièce que l’on vient de changer…