Et bien tout est de la faute des locaux, très friands de photos faites au téléphone portable sur le bord de la route… La plupart des voitures qui nous double s’arrêtent un peu plus loin sur le bas côté, puis sortent en nous attendant. Ensuite, chacun veut être pris avec chacun de nous, puis avec les deux, puis avec nous deux et l’un deux, et ainsi de suite.
Sachant qu’ils sont souvent plus que le nombre réglementaire dans une voiture, vous imaginez facilement le nombre de combinaisons différentes que nous avons à subir…
Exemple ici avec des militaires kurdes sortant d’un taxi. |
Comment faire pour éviter ces prises de photos forcées ? Il n’y a pas de solution miracle, car ils insistent tellement qu’il est plus rapide de s’arrêter pour prendre les photos rapidement que de chercher à discuter avec eux… D’autant plus qu’ils ne demandent que très rarement d’où l’on vient et où on va…
Même si cela arrive aussi aux autres cyclistes, nous expérimentons peut-être le début de l’effet « vélo couché » hors d’Europe. A confirmer !
J’adore ! Beaux récits !
a+, Hubert