Les plus assidus d’entre vous se souviendront d’une photo d’une branche posée contre un arbre, au début de la Turquie, et puis de moi en train de tailler la branche en question dans la tente, pendant nos longues soirées qui commençent à 18h.
Le branche de chêne, au début, en photo avec son pôpô ! |
Voici la petite histoire dudit bâton :
Fin de l’histoire ?
Peut-être pas !
Comme vous avez pu le voir dans cette petit histoire, je m’étais, en le travaillant si longtemps, fort attaché à cet objet, qui outre son utilité lors d’attaques de chien, me permettait d’effectuer quelques mouvements d’Aïkido le soir, pour ne pas perdre trop le rythme…
Je lance donc un appel,un peu dérisoire sans doute, à tout voyageur (ou autre !) allant dans la même direction que nous, pour tenter de le retrouver et le de faire cheminer jusqu’à nous !
Si cela vous tente, voici quelques indications pratiques :
- L’endroit où il se trouve n’est pas une cachette secrète, mais une grange charmante dans un petit village nommé Gökbel, tout près de Dalyan, ville très connue pour ses tombes antiques et car les tortues viennent pondre leurs œufs sur sa belle plage.
La grange en question, avec ses deux étages très accueillants ! |
- Le village se trouve dans un endroit tout simplement magnifique, avec des montagnes entourées de lacs, du plus bel effet !
Gökbel, au centre, près du petit lac |
Paysage juste avant Gökbel |
- La famille a qui appartient cette maison habite juste à côté et est très accueillante : nous avons eu droit à un plateau repas directement dans notre nouvelle maison !
- Le bâton, accompagné d’un deuxième, mais de moindre importance, se trouve sûrement bien sagement à l’intérieur, au premier étage, attendant qu’on vienne le chercher !
C’est sûrement un appel dans le vide, mais j’espère qu’il arrivera à quelqu’un qui sera en mesure de me le faire parvenir, un jour, du moment que cela ne l’oblige pas à trop de contraintes !
N’hésitez pas à nous contacter si vous avez une idée à ce sujet !
Euh, désolée, je ne vais pas par la dans les jours prochains…. Le baton doit se sentir seul sans son maitre et papa. Je comprends la tristesse, on s’attache a ses objets là. J’ai presque pleuré en lisant le récit.