On va au Japon il paraît, alors on commence à apprendre la langue.
Ce n’est pas gagné, voyez vous-même :
Archives de l’auteur : Eglantine
Chacun son truc !
Pendant que Guilhem invente des nouvelles figures bientôt primées aux X Games, je continue mes activités de détente, tranquillou à l’appart !
Alors voilà, vous en reconnaîtrez certains, mais il y a beaucoup de petits nouveaux dans la classe des Bricol’Girls.
D’autres classes ont même ouvert ! Celle des Drôles d’Oiseaux (merci à Benoît, Mélanie et Maman pour leur contribution en matériaux), et celles des Tout Venant.
Je ne dévoile pas tout, ce n’est pas l’envie qui me manque, mais plutôt la technique et le talent photographique. Alors, en attendant que ces derniers reviennent, voilà un petit aperçu !
Une musique / un bouquin
Le Labo de Loby !
Eglantine part, mais Eglantine a des idées derrière la tête qu’elle aimerait vous faire partager avant de partir !
Pour commencer, la première collection du Labo de Loby en l’honneur des Bricol’ Girls.
Exclamez-vous, esclaffez-vous, peu importe, du moment que vous réagissez !
Collier serre-mandrins (ça peut toujours servir !) :
Voilou, vous en savez un peu plus ! Et pour en savoir encore plus, n’hésitez pas à laisser un commentaire !
N’attendez pas le prochain New York Fashion Show pour les découvrir, il sera trop tard !
Retrouvez la page sur le Labo de Loby !
Ils sont arrivés !
Qui ça ? Ben les vélos pardi ! Ceux qui vont devenir notre partenaire de route, notre maison, notre fier destrier, notre porteur, enfin tout quoi…
Alors voilà, je (Englantine) suis partie de Paris ce matin vers 9h pour aller jusqu’à La Bohalle, charmante bourgade du côté d’Angers. Je me suis arrêtée à l’aire d’autoroute Pruillé le Chétif, j’ai tourné 1 bonne heure autour de Sainte Gemmes alors qu’il fallait aller de l’autre côté de l’autouroute… Je suis arrivée à Cycle Zen, un peu fatiguée après 5 heures de trajet. Jean-Jacques m’a accueilli en toute simplicité – comme c’est agréable – et m’a présenté nos nouveaux amis. Alors bon, il s’est un peu emmêlé les commandes, heureusement que je n’avais pas choisi un cadre rose comme prévu, et du coup, nos choix sont inversés, mais j’ai pu tester la bête, bien ajustée à ma taille.
Jean-Jacques me tiens le vélo pour le départ, mais c’est trop facile d’abord, au bout de quelques mètres, je me dis « wouah, on va passer deux ans là-dessus ! ».
Mais trêve de rêverie, je charge tout dans la camionnette, et c’est reparti dans le sens inverse.
Je prends une autostoppeuse à qui je vais pouvoir déballer toute l’histoire, ça me permet de ne pas trop m’endormir…