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Animal !

On regarde à droite et à gauche avant de traverser, sinon, scouitch la tortue…

Éboueurs de la nature !

Bronzette

 

Une espèce de marmotte, on en voit pleins !

Wouh ! petite couleuvre sympathique !

En montagne, on aperçoit des aigles !

Une petite tortue se cachait dans la salle de bain


Le ânes nous font toujours marrer !

La compile vidéo !

Petit tour dans la steppe ouzbek

Nous prenons notre temps dans ce pays et nous partons à l’aventure dans des régions pas très touristiques, (au point d’avoir droit à un contrôle de police comme vous avez pu le voir dans un précédent article!!).

Nous découvrons la région de Nurota, entre montagnes et lac artificiel.

La forteresse d’Alexandre le Grand à Nurota, il ne reste pas grand chose mais c’est rigolo de marquer son nom en pierres sur la colline !

Le lac Aidar, on serait bien allé le voir si nous n’avions pas été pris dans les tempêtes de sable, mais ce n’est pas toujours évident de rouler sur les pistes…


Et voilà ce que ça donne quand on pense que les graviers et le sable c’est comme le macadam…

Du coup, nous n’avons pas vu le lac, mais nous avons beaucoup apprécié ce paysage désertique sur fond de montagnes !

On ne rencontre pas grand monde, surtout des troupeaux !

Mais il y a quand même des gens qui habitent ici, ils viennent à notre rencontre

En plus, il y a des noms de ville rigolos !

Ils n’ont pas osé s’approcher à moins de 10m, mais ils sont quand même restés 2 heures avec nous !

L’appel de la montagne, on n’a pas résisté à une petite rando !

Pas mal de troquer nos vélos pour un guide de temps en temps !

On gambade au milieu des champs de rhubarbe sauvage

Peu de tourisme, mais du tourisme de qualité avec cette petite organisation d’éco-tourisme qui nous a bien plue, à l’initiative d’une poignée d’allemands il y a à peine 5 ans.
Les apiculteurs du désert avec ruches mobiles.

Mashad, not so bad !

Nous commencerons ce post par un grand remerciement à nos hôtes couchsurfer de Mashhad ! Si nous avons passé un bon moment à Mashhad, c’est essentiellement grâce à eux !

Et oui, l’angle d’approche de la ville est toujours particulier lorsqu’elle nous est présentée par des habitants.

En effet, nous nous sommes d’abord retrouvés dans un cours de français, pas banal dans ce pays!

Petite leçon sur le Festival de Cannes


Pourquoi les iraniens voudraient-ils apprendre le français me direz-vous ? Vous allez être déçus, en général, ce n’est pas pour la beauté de la langue, mais seulement pour pouvoir émigrer au Canada… Et oui, nous comprenons en discutant un peu avec les élèves que leur principale motivation dans la vie est de quitter leur pays, et il se trouve que le Canada offre des conditions d’immigration très favorables, avec la naturalisation de tous les immigrants, sous réserve qu’ils remplissent un cahier des charges très complet, dont la connaissance des langues anglaise et française (c’est un peu plus compliqué que ça, avec une histoire de points, mais on vous passe les détails). Le hic est que ces personnes attendent généralement 3 ou 4 ans que la procédure se fasse pour savoir s’ils peuvent partir…
Enfin, ce cours de français a été une bonne occasion pour nous de faire la révision des COD et COI, mais surtout pour rencontrer toutes ces personnes intéressées par le français, en particulier les profs !

On fait les fous !

Mais Mashhad, malgré une petite portion de la population qui voudrait quitter le pays à cause du régime fort, est avant tout une ville de pèlerinage pour les musulmans chiites.

Au cœur de la ville, on trouve le mausolée de l’Imam Réza. Alors, vous ne savez peut-être pas qui est ce type, nous non plus, mais nous ne voulions pas rater ce lieu de culte dont tout le monde nous avait tant parlé.
Pour pouvoir entrer dans l’enceinte religieuse, il faut porter hejab ET tchador noir, la totale ! Et normalement, le site est interdit aux non musulmans.
Nous n’avons pas été déçus en entrant sur les lieux. Non pas que la dizaine de mosquées construites les unes à côté des autres soient belles (celles que nous avons vu précédemment l’étaient beaucoup plus), mais nous avons baigné le temps de la visite dans une ambiance oppressante de fanatisme religieux. C’est vraiment très impressionnant de voir ces hommes et ces femmes se battre presque pour pouvoir toucher la tombe de l’imam Réza. Certain(e)s pleurent en récitant leurs prières, tout le monde touche tous les objets « sacré » accessibles avant de se passer les mains sur le visage, et même les morts viennent en pèlerinage ! Bref, nous avons évolué près d’une heure dans ce véritable complexe religieux en observant les comportements de tous ces gens parfois venus de l’autre bout de l’Irak.

On fait moins les fous…

En dehors du mausolée, il n’y a pas grand chose de remarquable à Mashhad, et notre escale était bien courte (essentiellement pour récupérer le visa turkmène), alors nous nous sommes juste promenés dans les parcs, dans les « juice bar » pour déguster des smoothies et voilà, de quoi nous reposer avant de reprendre la route vers le Turkménistan.

A Téhéran, on prend du bon temps !

Et oui, ce n’est pas parce qu’on entreprend la course aux visas qu’on ne fait rien à côté !

Nous avons été magnifiquement accueillis à Téhéran !
On prend le temps de dessiner, de faire la sieste ou de discuter dans la cour fleurie !


On nous avait dit que la ville était affreuse, bondée de gens et avec un trafic intenable, mais nous nous y sommes bien plu et nous en avons bien profité !
D’abord parce que nous sommes arrivés au moment de Nourouz, soit au moment où tous les téhéranais partent à la campagne, du coup, nous avons eu la ville pour nous. Nous avons aussi bien aimé le paysage en arrière plan avec cette grande montagne toute blanche. Et surtout, nous avons senti la ville bouillir malgré des apparences bien respectueuses des règles !

Nous avons été baignés dans des lieux imprégnés de la culture anté-révolution et/ou révolutionnaire, rencontré une foule de personnes qui vivent dans cette ville en ayant des idées et des modes de vie bien opposés à ce qu’essaie d’imposer le régime, et on s’est même dévoilé et embrassé en pleine rue, scandale !

Les buffets à l’iranienne, un régal !
Faites un vœu pour Nouruz !

Évidemment, nous éviterons de citer les personnes et les lieux découverts dans la capitale, mais sachez qu’ils existent et que nous les remercions pour tout ce qu’ils ont fait pour nous !

Voilà, deux semaines de grand repos, à se balader dans les lieux mythiques de la ville comme le bazaar, le nouveau métro, le musée des verreries, les restaurants cantines ou encore le grand parc du sud.

 

Le musée des verreries et sa surprenante mise en scène !

Nous avons pu admirer tous ces bâtiments en construction dans le nord de la ville – structures métalliques remplies au béton, du rapide ! Nous avons aussi observé toutes ces fresques des martyrs qui ornent la ville, pour varier avec la tête des deux grands ayatollahs. Enfin, on commençait à s’y faire !

Nike – Carlsberg, une belle association !!
Vous les voyez, les militaires qui sont « au coin » ? Hé ! Hé !

Tu veux un coup de batte ?

Pour vous, en exclusivité, nous vous livrons les secrets d’un sport traditionnel et sacré en Iran, et qui par sa nature est interdit aux femmes (pour la pratique bien-sûr, mais aussi pour le regarder pratiquer !).

Explications :

Vous vous demandez à quoi servent ces grands boucliers ? A vrai dire nous aussi, personne ne s’en étant servi…

Passons au vif du sujet :


Sur fond de chant scandant de la poésie avec des percussions, les athlètes se mettent en rond dans le « ring » :

Tout d’abord, échauffement à base de technique du tourni

Ce sera plus visuel en vidéo :


Ensuite, les athlètes prennent chacun deux sortes de grosses battes de baseball très lourdes. Nous nous demandions à quoi pouvaient bien servir ces engins lorsque nous les voyions à vendre dans les magasins de sport.

En fait, ce sport s’apparente à une sorte de body-building : les athlètes manient les battes en rythme pour se faire les muscles, tout simplement. Et le résultat est convaincant :

Des pecs prêts à faire craquer le T-shirt !

Un autre outil est cette barre fer munie de nombreuses rondelles : nous n’avons pas eu de démonstrations, alors Églantine s’en est chargé !




Les observateurs attentifs auront remarqué les brochettes de femmes regardant les sportifs, alors que nous disions que cela leur était interdit…

C’est effectivement interdit, sauf à Yazd, allez savoir pourquoi ! Par décence, les sportifs mettent simplemnt un T-shirt au lieu d’être torse nus (groar ! )

Battle de danse d’Eglantine lors du mariage en Irak

On nous l’avait demandé dans un commentaire, alors voici la vidéo tant attendue d’Eglantine en plein battle lors du mariage auquel on a participé en Irak !


Si vous avez l’impression qu’Églantine n’est pas au top de sa forme, c’est qu’en fait elle est un peu timide et ne veut pas montrer tout son potentiel !

De toute façon, je trouve que c’est le petit au milieu qui gagne la palme ! 😉

PS : Mention spéciale du jury pour le style chaussure de rando et pantalon de trek pour une fête de mariage !

Edit : merci pour les commentaires, c’est corrigé !

Cappadoce, petit coin de paradis !

Un site extraordinaire, des gens géniaux, de la bonne bouffe et des balades rigolotes dans les vallées, what else ?
C’était le programme de notre semaine en Cappadoce ! Et quel bonheur de se retrouver dans ce genre d’endroit sans l’afflux de trop de touristes !

Nous en avons bien profité et nous vous faisons partager tout ça en images !

Le château d’Ucisar à notre arrivée : nuit !

Jour !

De l’autre côté !

Ce chien n’a peur de rien, sauf des passages vertigineux dans les cheminées de fées !

Pigeonnier

Ucisar depuis le bas, ville troglodyte.

C’est grand !

Hey baby !

Ruche old school !

Voilà la célèbre Love Valley (enfin presque !)

Encore une fois, c’est énorme !

Entre deux

Barbeuk improvisé de saucisson !

Hassan nous a emmenés faire de l’alpinisme !