Archives de l’auteur : Eglantine

WTF : un sale pays !

Le matin au lever :

Il fait beau ?_ben, bof, il y a une grosse brume, mais ça va peut-être se lever !

A la pause déjeuner :

C’est bizarre, la brume est toujours là… _ ah ben non, en fait c’est la poussière ambiante

En Chine, les routes sont poussiéreuses

Voilà un peu le paysage depuis que nous sommes entrés dans la « vraie » Chine, c’est-à-dire depuis que nous avons quitté la Mongolie Intérieure. Les montagnes sont belles, mais on ne les voit pas très bien avec la brume…

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Les chevaux en Mongolie

Au final, la Mongolie, c’était comment ?

Quelqu’un de célèbre a dit :

S’il n’y avait pas les mongoles, la Mongolie, ce serait le paradis !

. Et bien, il y a beaucoup de vrai là-dedans, et si je fais un bilan des meilleurs et des pires moments passés dans ce pays, voilà ce que ça pourrait donner :

Pire : un mongole bourré et vraiment agressif qui veut se battre en pleine pampa, nous sommes obligés de fuir, le drapeau de Guilhem y reste.

Meilleur : la piste que nous avons prise entre Erdenet et Karkhorin, quand nous étions tout seuls dans l’infini vert et le calme absolu.

Mongolie

Ben oui, Pocahontas est brune, donc de toute façon, je n’aurais jamais pu avoir sa tresse !

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La traversée du Gobi, ou les deux Mongolies.

Depuis Oulan Bator, nous nous lançons dans la traversée d’une grande zone désertique, sur les bords du fameux désert du Gobi. Cette épopée se déroule en deux temps. D’abord en Mongolie – la vraie, puis en Mongolie intérieure – la province de Chine.

La ligne de chemin de fer est la principale distraction de la traversée

La ligne de chemin de fer longe la route, ou inversement, tout au long des 650km. Nous comptons pas moins de 45 trains, et sans doute tout autant de chameaux !

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Les bébêtes !

Sur notre route, nous avons rencontré beaucoup de voyageurs. Certains étaient en tour organisé. Nous les voyions dans leur petit van soviétique gris, souvent des groupes de quatre à six, allant d’un site à l’autre en un drop de moteur. L’un d’eux un jour nous a demandé si on ne s’ennuyait pas trop à vélo dans ces grandes étendues un peu monotones… Cela peut paraître justifié, mais…Que nenni ! Et oui, et au contraire, nous prenons sûrement plus de plaisir que les voyageurs motorisés-chronométrés, car voguer paisiblement apporte son lot d’avantages, en partie grâce aux animaux !

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